À la fermeture de la boutique, vers 19 h 30, des sacs blancs sont posés sur le muret en face de la boulangerie. À l’intérieur : sandwiches et viennoiseries. « Tout ce qui n’a pas été vendu dans la journée », explique José Louiset, propriétaire des boulangeries Au bon vieux temps et du Fournil du Chapeau rouge.
Depuis un an et demi, les étudiants et les sans-abri se regroupent souvent devant la boutique.« On ne pourrait pas s’acheter autant de pain sinon. Et le sandwich ça fait un repas », commente Lola, étudiante aux Beaux-arts de Quimper qui vient ici « au moins une fois par semaine ». »
Source : Ouest France
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