Selon M. Djellab, cité par l’agence officielle APS, une nouvelle démarche est en cours d’élaboration au niveau du gouvernement visant à donner « un aspect économique et commercial » au service public au lieu de «l’aspect social (qui) alourdit la charge du Trésor public en raison de l’importance des subventions destinées aux transferts sociaux lesquels qui, selon lui, représentent 30% du PIB annuel. » « Nous n’allons pas abandonner ces couches (défavorisées), mais nous devons les préparer à l’insertion économique (…). Mais il viendra le jour où nous devrions rationaliser l’intervention sociale du gouvernement », a ajouté le ministre.
mercredi 21 janvier 2015
Algérie: Baisse des prix du pétrole et retour sur terre
Les Algériens vont devoir payer leurs soins et leurs loyers dans les logements
publics. « Á l’avenir, le citoyen paiera ce qu’il doit payer dans un
hôpital public (en contrepartie de ses soins) ou bien son loyer pour le logement public (…). Chacun doit assumer ses responsabilités », a déclaré, ce mardi 20 janvier, Mohamed Djellab, ministre des Finances lors de son audition devant la Commission des affaires économiques et financières au Conseil de la Nation.
Selon M. Djellab, cité par l’agence officielle APS, une nouvelle démarche est en cours d’élaboration au niveau du gouvernement visant à donner « un aspect économique et commercial » au service public au lieu de «l’aspect social (qui) alourdit la charge du Trésor public en raison de l’importance des subventions destinées aux transferts sociaux lesquels qui, selon lui, représentent 30% du PIB annuel. » « Nous n’allons pas abandonner ces couches (défavorisées), mais nous devons les préparer à l’insertion économique (…). Mais il viendra le jour où nous devrions rationaliser l’intervention sociale du gouvernement », a ajouté le ministre.
Selon M. Djellab, cité par l’agence officielle APS, une nouvelle démarche est en cours d’élaboration au niveau du gouvernement visant à donner « un aspect économique et commercial » au service public au lieu de «l’aspect social (qui) alourdit la charge du Trésor public en raison de l’importance des subventions destinées aux transferts sociaux lesquels qui, selon lui, représentent 30% du PIB annuel. » « Nous n’allons pas abandonner ces couches (défavorisées), mais nous devons les préparer à l’insertion économique (…). Mais il viendra le jour où nous devrions rationaliser l’intervention sociale du gouvernement », a ajouté le ministre.
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