dimanche 27 septembre 2015

En 2020 les Hadj à la Mecque et Médine fera rentrer 90 milliards de dollars à L'Arabie Saoudite

Selon une étude de la Chambre de commerce de La Mecque, les pèlerins dépensent en moyenne 17 381 rials, soit 4633 dollars, essentiellement dans le logement, la nourriture et les souvenirs. Si l’on considère à la fois le grand et le petit pèlerinage (omra), lequel peut être effectué à n’importe quel moment de l’année, on estime à plus de 9 millions le nombre de touristes religieux accueillis chaque année dans le royaume. Six millions de fidèles ont effectué les rites de la omra durant le Ramadhan. Pour faire face à ce défi, l’Arabie Saoudite a entrepris des travaux gigantesques. 20 milliards d’euros vont être investis dans des projets de réhabilitation de la ville sainte.
Des dizaines d’hôtels et d’immeubles d’habitation doivent être érigés dans les prochaines années. Sans parler du métro et d’une ligne à grande vitesse. En 2012, le nombre de pèlerins venus célébrer l’Aïd El Kebir à La Mecque avait dépassé les 3 millions et avait rapporté 16 milliards de dollars. Mais Riyad a préféré réduire de 20% le nombre de pèlerins étrangers en raison des travaux en cours.
Si l’Etat saoudien investit chaque année des montants colossaux pour agrandir ses mosquées, financer des écoles coraniques et des universités islamiques dans le royaume et le monde entier, c’est que le retour sur investissement est important. Le pèlerinage est une source de revenus qui progresse année après année. La Mecque et Médine devraient accueillir 20 millions de visiteurs en 2020, soit une recette attendue d’environ 90 milliards de dollars par an.
 
R. I.
Source: el watan

France: à 10 ans, il prend la voiture seul avec son frère de 5 ans

Les policiers du Havre ont intercepté dans la nuit de samedi à dimanche, dans un quartier de la ville, un véhicule conduit par un enfant de 10 ans, avec, sur le siège arrière, son petit frère de 5 ans, a indiqué une source policière. Vers 4h du matin dimanche, un habitant du quartier Caucriauville, est intrigué par l'apparence très juvénile du conducteur d'une Fiat Punto, et alerte la police. Les fonctionnaires, arrivés rapidement sur les lieux, stoppent le véhicule et ont alors la surprise de constater que le conducteur, n'est autre qu'un garçonnet, qui leur dit être âgé de 10 ans. Ils sont encore plus étonnés de voir que sur le siège arrière est tranquillement assis, dans son réhausseur, un autre enfant encore plus jeune, qui se révèle être le frère, âgé de 5 ans, du conducteur en herbe.
Selon les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, les deux garçonnets avaient été confiés par leur mère, partie à une soirée, à la garde d'un de ses amis, âgé de 38 ans. Les enfants ont profité du sommeil de ce dernier pour prendre les clés de la voiture de leur mère et descendre au véhicule, garé au pied de leur immeuble. Ils avaient parcouru quelque 500 mètres lorsqu'ils ont été interceptés par la police. Leur mère, âgée de 37 ans, qui s'est présentée dimanche matin au commissariat, devait être entendue dans l'après-midi par les policiers. Le baby-sitter a lui aussi été entendu, tandis que les deux enfants ont été conduits au Centre hospitalier de la ville pour un contrôle médical.

Source TF1

Incendie dans la grande mosquée de Londres

Un incendie a éclaté samedi dans la grande mosquée de Londres, dont les responsables affirment qu'elle est la plus grande d'Europe, sans faire de victimes, selon les services de secours londoniens. Un homme d'une quarantaine d'années, qui avait inhalé des fumées, a été hospitalisé souffrant de difficultés respiratoires, selon le service des Ambulances de Londres. 
Incendie à la grande mosquée de Londres, le 26 septembre 2015
Une dizaine de véhicules de pompiers combattaient samedi cet incendie à Morden dans le sud-ouest de Londres, alors que des volutes de fumée étaient visibles sur toute la ville. 
Selon les pompiers la mosquée elle-même n'a pas subi de dégâts, le feu ayant surtout frappé des bureaux de la bâtisse de plusieurs étages.
Un incendie s'est déclaré, le 26 septembre 2015, dans la mosquée du quartier Morden à Londres. (CAPTURE D'ÉCRAN)
La mosquée construite en 2003 sur 2,1 hectares peut accueillir au moins 10.500 fidèles pour la prière et comprend un dôme de 23 mètres de haut, selon son site internet. "Il n'y avait personne" qui priait dans la mosquée lorsque l'incendie a éclaté, a indiqué Stephen Alambritis, le responsable du conseil du district de Merton dont dépend Morden.

Source:le figaro

samedi 26 septembre 2015

Le chanteur Moh Ouali Tizi Temlelt est mort!

Nous apprenons avec tristesse la mort du chanteur Moh Ouali Tizi Temlelt. Il était l'un des plus vieux de la chanson kabyle.
De son Vrai nom Moh Ouali Hakem. Son nom d'artiste est puisé de celui de son village. Tizi Temlelt un paisible village de la commune d'Iflissen, situé également à la limite territoriale avec la commune de Tigzirt. Tizi-Ouzou en Kabylie.

Il était un homme de coeur, une personnage lucide, très aimable, affectueux et sensible. 
Il est né en 1934. C'est à l'âge de 18 ans qu'il immigre en France. En plus du travail pour subvenir aux besoins de ses famille, Moh Ouali s'est engagé dans la chanson. En France il a  eu la chance de fréquenter les grands de la chanson algérienne, tel que Dahmane El Harrachi, El Hasnaoui etc.
Da Moh Ouali avait composé plusieurs chanson, mais la plupart n'ont pas été enregistrées pour des raison qu'on ignore. Il a chanté l'immigration, l'exil et la nostalgie pour son amour au pays. Le chanteur a traité divers thèmes avec une rare sensibilité dans des chansons magnifiques pleines d'émotion et de subtile tendresse. Il savait bien choisir scrupuleusement les mots qu'il mariait avec des sons pour en faire des œuvres palpitantes.
Dans la région, il était aussi très connues en se produisant dans différentes occasions de fête de mariages familiale particulièrement.

Durant l'été 2008, un vibrant hommage lui a  été rendu, par une grandiose fête organisée au niveau de son village. Da MOh était émue de cet hommage et la présence de milliers de personnes qui l'ont chaleureusement applaudi et en exprimant leurs reconnaissances envers son itinéraire artistique et envers sa personnalité pleine de vertu.

« Je vous remercie du fond de cœur », lancera-t-il à l'adresse de la foule qui répliquera par un grand tonnerre d'applaudissements. Cherif Hamani, Ali Ideflawen, Moh Saïd Fahem, Mohand Akli Belkheir, entre autres, étaient là pour exprimer leur amour, leur affection et leur reconnaissance à ce chikh de la chanson kabyle.

Da Moh Ouali sera enterré  demain dimanche au niveau du cimetière de son village natal, Tizi Temlelt. Oui il sera accompagne dans la douleur  vers sa dernière demeure avec le sentiment d'avoir perdu à jamais un grand artiste qui a su marquer à jamais son passage ici bas.

Mourad Hammami



jeudi 24 septembre 2015

Algérie : la guerre est-elle ouverte entre Bouteflika et l'armée ?

Grand ménage ou simple effet d’optique ? Depuis quelques semaines, les coups de balai se succèdent au sein du pouvoir algérien comme le limogeage du général Mohamed Médiène, alias Toufik, chef du département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) mi-septembre, ou encore du procureur général de la Cour d'Alger Belkacem Zeghmati, lundi 21 septembre. Comment interpréter ces évènements ? Le rapport de force entre l’armée et le pouvoir exécutif a-t-il changé en Algérie ? Faut-il y voir un tour de vis en vue de préparer la succession du président Abdelaziz Bouteflika ? France 24 a interrogé deux politologues dont l’analyse est diamétralement opposée. D’une part, Rachid Tlemçani, enseignant-chercheur en Sciences politiques à l’Université d’Alger, professeur visiteur à l’université de Harvard ou encore Georgetown. D’autre part, Lahouari Addi, sociologue et enseignant-chercheur à l’Institut d’Études politiques de Lyon. Ces deux entretiens mettent en lumière la difficulté à comprendre les rouages du système politique algérien.

France 24 : Comment faut-il lire les récents limogeages du général Mohamed Médiène dit Toufik, et celle du procureur d’Alger Belkacem Zeghmati ?
Rachid Tlemçani : Les récents limogeages du général Médiène, chef du DRS, ainsi que quelques autres responsables de cette puissante institution - un État dans l’État - s’inscrivent dans la longue lutte que le président Bouteflika a entamée au lendemain son intronisation pour "civiliser" l’armée. Depuis quelques années, il s’est focalisé sur le DRS qui est devenu très puissant, au fil de la crise sécuritaire [durant la lutte contre le terrorisme dans les années 1990, NDLR].  Avec le quatrième mandat, le conflit entre la présidence et le DRS est devenu ouvert. Dans le cadre de cette reconfiguration, Bouteflika a opéré une restructuration des appareils de la sécurité militaire en rattachant des services au ministère de la Défense, c’est à dire sous son autorité.
Lahouari Addi : Nous avons des informations officielles sur la réorganisation des services de sécurité militaire, qui a commencé il y a deux ans. Elle a une logique. Elle a culminé avec le limogeage du général Toufik Médiène. Le DRS est un service qui dépend de manière organique de l’État major au même titre qu'une vingtaine de services : l’aviation, la marine, l’infanterie… Durant la décennie 1990, avec la lutte anti-terroriste, le DRS a pris plus d’importance au sein de l’état-major, au point de concurrencer cette institution ainsi que la la présidence.
Le tournant est l'attaque d’In Amenas. Le DRS a mis en danger le régime, sa crédibilité. L'armée lui a reproché trois choses. D’abord, d’avoir failli à sécuriser les sites stratégiques comme les bases pétrolières. Ensuite, toutes les grandes affaires de corruption en Algérie sont couvertes par des officiers supérieurs du DRS. Le troisième point - et c’est le plus important -, c’est que le DRS était trop visible dans le champ politique. Ce service dépendant de l’armée, n’importe qui pouvait voir que c’est elle qui détenait le pouvoir réel. Or, dans la culture politique des officiers algériens, cela doit rester secret.
Il ne s’agit donc pas de verrouiller le système pour assurer la succession d’Abdelaziz Bouteflika ? Le nom de son frère Saïd est sur toutes les lèvres… 

Rachid Tlemçani : La succession de Bouteflika s’inscrit dans cette lutte. Il a essayé d’imposer son jeune frère Saïd mais il n’a pas réussi pour deux raisons. Avec le Printemps arabe, une telle action aurait mis le feu aux poudres et n’était pas dans l’intérêt des groupes de pression. La seconde raison est que les groupes politiques sous la houlette de Toufik se sont opposés à cette forme de succession. Aujourd’hui, il [Saïd Bouteflika] peut très bien succéder à son frère. Une formule institutionnelle pourrait facilement être fabriquée pour légitimer ce choix.
Lahouari Addi : Depuis la mort de Boumédiène [chef de l'État algérien entre 1968 et 1975], le président algérien n’a aucune autorité politique. Il a un pouvoir symbolique et des privilèges. La preuve est qu’Abdelaziz Bouteflika est dans l’incapacité physique de décider de quoi que ce soit. D’aucuns se demandent même s’il est au courant des derniers évènements. Il parle à peine, il n’entend pas. Le système algérien n’a pas besoin d’un président qui exerce ses prérogatives constitutionnelles. La question de la succession ne se pose donc pas en ces termes. C’est un cercle restreint de généraux, peut-être une trentaine, qui en décideront le moment venu. Quant à Saïd Bouteflika, non seulement c’est farfelu mais cela fait partie de la propagande du régime. Si Bouteflika n’a aucun pouvoir, son frère non plus. Il ne compte pas. On l’utilise pour montrer que la famille du président est corrompue. C’est un épouvantail.
Le rapport de force a-t-il changé entre l’armée et le clan présidentiel ?

Rachid Tlemçani : À présent le clan présidentiel détient tout le pouvoir, institutionnel et occulte. Il est devenu un véritable chef, un monarque. Notons que la professionnalisation des forces armées a vidé cette institution de toute idéologie. Il n’y a aucun risque de voir un coup d’État. Par ailleurs, il a verrouillé les quelques espaces de liberté et de démocratie en promulguant des lois liberticides dans les secteurs de la communication, des partis politiques, des ONG… Aujourd’hui, il est impossible de créer une association de quartier. La bureaucratie a pris la place du DRS.
Lahouari Addi : L’armée est renforcée. Elle est l’épine dorsale du régime algérien. La menace intérieure - les islamistes armés - a été domestiquée, l’opposition a été domestiquée. Il n’y a qu’une seule crainte : c’est la baisse du prix du pétrole. L’Algérie vivant des revenus des hydrocarbures, il pourrait alors y avoir des révoltes terribles.
Abdelaziz Bouteflika va-t-il pouvoir finir son mandat ?
Rachid Tlemçani : Si Dieu lui prête vie, il finira son mandat en dépit du fait qu' il soit diminué physiquement et intellectuellement. Il pourra même briguer un 5e mandat ou un 6e. La Constitution révisée en 2008 lui permet de rester président à vie...
Lahouari Addi : Ça dépend de Dieu. S’il est en vie, il terminera son mandat parce que les militaires ne trouveront pas mieux comme président. S’ils désignent quelqu’un d’autre, cette personnalité cherchera a exercer ne serait-ce qu’un minimum d’autorité liée à la fonction. Bouteflika y a renoncé depuis 2001. C’est le président idéal pour les militaires. 

Source: France24

Urgent! La Mecque: le bilan dépasse les 700 morts lors de bousculades à Menna!

Urgent! La Mecque: le bilan dépasse les 700 morts lors de bousculades à Menna!

le bilan s'alourdit d'une heure à une autre. Plus de 700 morts et un milliers de blessés dans une terrible bousculade qui a  eu lieu à Minna à la Mecque en Arabie Saoudite lors des rituels de pèlerinage.selon nos sources, le bilan n'est que provisoire.
Cette énième tragédie a eu lieu quelques semaine après une autre catastrophe causée par l'effondrement d'une grue ayant provoqué des dizaines de morts parmi les pèlerins.


L’Arabie saoudite a mobilisé 100 000 policiers pour le pèlerinage, qui n’a connu jusqu’ici aucun incident majeur. Il a été toutefois précédé par la chute, le 11 septembre, d’une grue sur le chantier d’agrandissement de la grande mosquée de La Mecque, qui a fait 109 morts et plus de 400 blessés, selon un dernier bilan.
En 2006, plus de 360 pèlerins sont morts dans une bousculade pendant le hadj à La Mecque. Un mouvement de foule similaire avait fait 244 morts et des centaines de blessés, à Mina, en 2004. Le bilan le plus lourd remonte à 1990, quand 1 426 pèlerins sont morts dans un tunnel piéton bondé menant aux lieux sacrés de La Mecque.
Selon les autorités saoudiennes, 1,4 million de pèlerins sont venus cette année de l’étranger et des centaines de milliers de l’intérieur du royaume.


Ighil Ighes (Iflissen) une stèle pour Mohamed Bouhacine tué par la foudre

Les jeunes du village Ighil Ighes dans la commune d'Iflissen,- Tigzirt, très touchés par la disparition du jeune Mohamed Bouhacine mort tragiquement le 12 septembre dernier ont initié une action en hommage à ce jeune si gentille ravi tôt au siens.
Mohamed Bouhacine avait 37 ans. Selon nos sources, il était dans une séance de footing lorsqu'il a été surpris par la foudre. Le malheureux est tué sur le coup. Son chien qui l'accompagnait également est tué foudroyé dans cette journée d'orage.

Un autre jeune berger qui était dans les environs a été lui aussi blessé par cette terrible foudre
Les jeunes du village en hommage à lui ont érigé une stèle sur le lieu où il est mort. Mohamed bénéficiait d'une grande estime parmi les siens, et son départ à laissé un grand climat de tristesse difficile à dépasser.





Il y a  une semaine, autre jeune du village Issenadjen, M Oumaouche est lui aussi ravi aux siens d'une façon dramatique après une chute dans de la hauteur d'un rocher dans les rivages de cette région maritime.

Paix à leurs âmes
Felassen Yaafu Rebbi
et Courage à leurs familles.



Urgent ! Plus de 300 morts et un millier de blessés à la Mecque


Plus de 300 morts et un milliers de blessés dans une terrible bousculade qui a  eu lieu à Minna à la Mecque en Arabie Saoudite lors des rituels de pèlerinage.selon nos sources, le bilan n'est que provisoire.
Cette énième tragédie a eu lieu quelques semaine après une autre catastrophe causée par l'effondrement d'une grue ayant provoqué des dizaines de morts parmi les pèlerins.


L’Arabie saoudite a mobilisé 100 000 policiers pour le pèlerinage, qui n’a connu jusqu’ici aucun incident majeur. Il a été toutefois précédé par la chute, le 11 septembre, d’une grue sur le chantier d’agrandissement de la grande mosquée de La Mecque, qui a fait 109 morts et plus de 400 blessés, selon un dernier bilan.
En 2006, plus de 360 pèlerins sont morts dans une bousculade pendant le hadj à La Mecque. Un mouvement de foule similaire avait fait 244 morts et des centaines de blessés, à Mina, en 2004. Le bilan le plus lourd remonte à 1990, quand 1 426 pèlerins sont morts dans un tunnel piéton bondé menant aux lieux sacrés de La Mecque.
Selon les autorités saoudiennes, 1,4 million de pèlerins sont venus cette année de l’étranger et des centaines de milliers de l’intérieur du royaume.

mercredi 23 septembre 2015

Le général Benhadid: "Le peuple va s'opposer à Said Bouteflika et sa bande de malfaiteurs"


Dans cette vidéo le général à la retraite Benhadid fait sa lecture sur la conjoncture actuelle que traverse l'Algérie marquée par des agitations et des mouvements au sommet de l'Etat, et le dernier fait en date est la destitution du puissant général Toufik, patron du DRS.
 Benhadid traite Said Bouteflika de malade prêt à tout. Ils évoque également Gaid Salah, Bouteflika et  



Le journaliste Salem Hammoum n'est plus!

Notre confrère journaliste, Salem Hammoum, du quotidien " Le Soir d’Algérie", repose, depuis ce mardi après-midi, au cimetière de son village Ihittoussen, dans la daïra de Bouzeguene, une cinquantaine de kilomètres au Nord-Est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou.
Le journaliste Salem Hamoum nous a quittés
Salem Hammoum, décédé lundi des suites d’une longue maladie, a été inhumé en présence d'une foule nombreuse, venue lui rendre un ultime hommage. Ses confrères de Tizi-Ouzou, ainsi que les représentants de la wilaya à leur tête le président de l'APW, Haroun Hocine, et le personnel de la maison de la culture Mouloud Mammeri, étaient très nombreux à l'accompagner jusqu'à sa dernière demeure
Felas yaafu Rebbi

lundi 21 septembre 2015

En Images: Le Festival International de Musique Berbère à Paris (2eme Partie)

Le 19 et le 20 septembre 2015 a eu lieu l'organisation de la 2e édition du Festival International de Musiques Berbères et d'Ailleurs - FIMBA- qui a eu lieu au Parc Floral de Vincennes à Paris. L’événement était une réussite tant sur le plan organisation, afflux  du public et la richesse du programme tracé et sa dimension international au profit de la culture et de l'identité berbère. Pour vous faire découvrir d'un tant soit peu, l'équipe de MP Médias, notamment Radio Libernet, Algérie France Infos et Association ComCulture ont assuré la couverture de cet événement important et prometteur et dont voici le reportage photos illustratif de cette  grandiose f^ete.


Reportage
Farida Laribi