Témoignage du colonel Si Sadek du vrai nom Slimane Dehiles reporté par son fils Ali Dehiles
Après le retour de la délégation de l'A.L.N de Chine populaire conduite par le Colonel Si Sadek (Dehiles Slimane) dans le but de ramener et ravitailler la nouvelle armée Algérienne en armement et équipements militaire, le Colonel Si Sadek tenait une séance de travail avec des officiers et entre autre le commandant Azzedine, dans le but de préparer une offensive sur l'armée Française.
Il était aux environ de 18 heures lorsque les officiers entendirent frapper à la porte. Le Colonel Si Sadek demanda au Commandant Azzedine d'aller voir qui frappe à la porte. Aussitôt, le Commandant ouvre la porte et trouve le Colonel Houari Boumedienne et le Commandant Bouteflike allias Abdelkader EL-Mali debouts devant la porte.
Il ira informer le Colonel SiSadek que deux officiers désirent participer à cette séance de travail qui avait pour but de démanteler la ligne Morrice. Il dira au Commandant Azzedine de les laisser rentrer et qu'ils soient les bienvenus à cette séance de travail. La séance repris son cours, mais voilà que le officiers entendirent des voix s'élever au sein de la base qui criaient "Tiara, Tiara" (Avion, Avion).
Effectivement, un avion venait de survoler la base ce qui avait ameuté les soldats de l'A.L.N. Aussitôt et pendant que le Colonel Si Sadek échangeait des propos avec le Commandant Azzedine concernant cet appareil, le Colonel Boumedienne et le Commandant Bouteflika se jetèrent par terre, le Colonel Si Sadek pris rapidement sa mitraillette et se dirigea vers la fenêtre pour voir un peu plus près cet avion qui tout compte fait n'était qu'un avion de reconnaissance de type Piper C 109 de l'armée Tunisienne qui espionnait la base de guerdimao ( vol de routine).
Mais voilà qu'en refermant la fenêtre le Colonel SiSadek posa sa pataugas sur la tête de Boumedienne sans faire exprès qui était allongé par terre en compagnie du commandant Bouteflika. A sa grande surprise, le Colonel SiSadek réalise la scène s'écria en disant à Boumedienne: "Que fais-tu là ?".
Le Colonel Boumedienne répondit "Tiara rahette" (l'avion est parti ?).
Le Colonel Si Sadek rétorqua: "Mais bien sur espèce de KHOUWAFF( trouillard) l'avion est parti, matahchemch tu te jette par terre parce que tu as entendu un avion, d'abord c'est un avion de reconnaissance et non un bombardier !
Ca se voit que tu n'as jamais combattu sur un champs de bataille car tu n 'as aucune expérience militaire espèce de trouillard ambitieux qui sait demain tu vas avoir une responsabilité en Algérie !"
Le Colonel Boumedienne se leva en baissant la tête humilié en s’éclipsant de la salle laissant le Commandant Bouteflika par terre et le Commandant Azzedine assit à une chaise entrain de rigoler à pleines dents tous les deux, car ils étaient habitués aux réflexions et sorties du Colonel SiSadek (Dehiles Slimane).
Le Colonel Boumedienne disparu pendants quelque temps pour se faire oublier. C'était une autre anecdote du Colonel Si Sadek. Il y'a encore les deux témoins vivants le Commandant Azzedine et le président Bouteflika Alias Abdelkader El-Mali qui pourront témoigner.
Monsieur Ali Dehiles Le Fils de Colonel Si Sadek (Dehiles Slimane)
Après le retour de la délégation de l'A.L.N de Chine populaire conduite par le Colonel Si Sadek (Dehiles Slimane) dans le but de ramener et ravitailler la nouvelle armée Algérienne en armement et équipements militaire, le Colonel Si Sadek tenait une séance de travail avec des officiers et entre autre le commandant Azzedine, dans le but de préparer une offensive sur l'armée Française.
Il était aux environ de 18 heures lorsque les officiers entendirent frapper à la porte. Le Colonel Si Sadek demanda au Commandant Azzedine d'aller voir qui frappe à la porte. Aussitôt, le Commandant ouvre la porte et trouve le Colonel Houari Boumedienne et le Commandant Bouteflike allias Abdelkader EL-Mali debouts devant la porte.
Il ira informer le Colonel SiSadek que deux officiers désirent participer à cette séance de travail qui avait pour but de démanteler la ligne Morrice. Il dira au Commandant Azzedine de les laisser rentrer et qu'ils soient les bienvenus à cette séance de travail. La séance repris son cours, mais voilà que le officiers entendirent des voix s'élever au sein de la base qui criaient "Tiara, Tiara" (Avion, Avion).
Effectivement, un avion venait de survoler la base ce qui avait ameuté les soldats de l'A.L.N. Aussitôt et pendant que le Colonel Si Sadek échangeait des propos avec le Commandant Azzedine concernant cet appareil, le Colonel Boumedienne et le Commandant Bouteflika se jetèrent par terre, le Colonel Si Sadek pris rapidement sa mitraillette et se dirigea vers la fenêtre pour voir un peu plus près cet avion qui tout compte fait n'était qu'un avion de reconnaissance de type Piper C 109 de l'armée Tunisienne qui espionnait la base de guerdimao ( vol de routine).
Mais voilà qu'en refermant la fenêtre le Colonel SiSadek posa sa pataugas sur la tête de Boumedienne sans faire exprès qui était allongé par terre en compagnie du commandant Bouteflika. A sa grande surprise, le Colonel SiSadek réalise la scène s'écria en disant à Boumedienne: "Que fais-tu là ?".
Le Colonel Boumedienne répondit "Tiara rahette" (l'avion est parti ?).
Le Colonel Si Sadek rétorqua: "Mais bien sur espèce de KHOUWAFF( trouillard) l'avion est parti, matahchemch tu te jette par terre parce que tu as entendu un avion, d'abord c'est un avion de reconnaissance et non un bombardier !
Ca se voit que tu n'as jamais combattu sur un champs de bataille car tu n 'as aucune expérience militaire espèce de trouillard ambitieux qui sait demain tu vas avoir une responsabilité en Algérie !"
Le Colonel Boumedienne se leva en baissant la tête humilié en s’éclipsant de la salle laissant le Commandant Bouteflika par terre et le Commandant Azzedine assit à une chaise entrain de rigoler à pleines dents tous les deux, car ils étaient habitués aux réflexions et sorties du Colonel SiSadek (Dehiles Slimane).
Le Colonel Boumedienne disparu pendants quelque temps pour se faire oublier. C'était une autre anecdote du Colonel Si Sadek. Il y'a encore les deux témoins vivants le Commandant Azzedine et le président Bouteflika Alias Abdelkader El-Mali qui pourront témoigner.
Monsieur Ali Dehiles Le Fils de Colonel Si Sadek (Dehiles Slimane)
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