jeudi 19 novembre 2015

Valls évoque un «risque d'attaques à l'arme chimique et bactériologique»

Le premier ministre estime qu'il existe un risque que les terroristes pourraient utiliser des armes chimiques. "Nous sommes en guerre, pas une guerre à laquelle l'histoire nous a tragiquement habitué", a-t-il déclaré devant l'Assemblée nationale où le projet de loi prolongeant l'état d'urgence de trois mois est examiné. 
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"C'est une guerre dont le front se déplace constamment et se retrouve au coeur même de notre vie quotidienne", a-t-il souligné.
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"Cette guerre nouvelle reste une guerre planifiée, menée par une armée de criminels. Ce qui est nouveau, ce sont les modes opératoires: les façons de frapper, de tuer évoluent sans cesse. L'imagination macabre des donneurs d'ordre est sans limites: fusils d'assaut, décapitation, bombes humaines, armes blanches, ou tout à la fois, perpétrés par des individus, ou des commandos, cette fois-ci particulièrement organisés", a-t-il poursuivi
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