Bouteflika est-il en mesure de désigner son successeur ?
Ziari pense que si le Président ouvre le jeu politique de manière à permettre au peuple de choisir librement son représentant, plusieurs cadres du courant national ont leur chance de devenir président. Il cite Ahmed Ouyahia, Abdelaziz Belkhadem, Ali Benflis et Mouloud Hamrouche.
Selon Ziari, l’institution militaire a toujours eu un rôle dans la désignation des présidents en Algérie. Elle était consultée et son avis pris en considération. « Cette étape est révolue, la nouvelle génération ne peut plus accepter cette règle. La décision doit revenir au peuple », lance-t-il. Un objectif possible d’atteindre, selon Ziari, si les derniers changements opérés au sein du DRS « sont élargis » à d’autres institutions. Dans le cas contraire, « il n’est pas, à mon avis judicieux, de parler de véritables réformes. On se saurait même amenés à penser que les raisons de ces réformes sont différentes à celles qu’on voudrait nous faire croire. »
Ziari plaide pour des réformes dans la sphère politique pour permettre aux partis d’exercer librement loin des pressions et de l’influence de l’administration.
je pence ouyahia président si nous aven de la chance
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