L'Etat algérien est toujours dans l'incapacité à trouver une solution au conflit ethnique qui s'est déclaré depuis deux ans dans la wilaya de Ghardaia.
Ce conflit se pourri de plus en plus de l'intérieur. La violence se développe de plus en plus entre les deux partie ne conflit. On parle souvent d'incidents, alors que de nos jours, le terme ne suffit plus. Ces dernier jours, cette wilaya a connu une escalade dangereuse de violence où des armes à feu ont été utilisé. Plusieurs sources évoquent un bilan lourd d'une vingtaine de morts et des dizaines de blessés. Le plus inquiétant est que les forces de l'ordre dépêchées sur le lieux ne sont pas intervenues pour stopper cette violence meurtrière.
Des manifestants dans différentes wilaya ont été empêchés d'exprimer leur inquiétudes. Des partis politiques et différentes organisations ont exprimé leur inquiétude face à cette violence.
Nous apprenons aussi que le président Abdelaziz Bouteflika a convoqué, mercredi, une réunion
d’urgence consacrée à la situation qui prévaut à Ghardaïa,
A cette réunion présidée par le président de la république ont participé également le
Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le vice-ministre de la Défense
nationale, chef d’état-major de l’ANP, le général de corps d’armée,
Ahmed Gaïd Salah, et le ministre d’État, directeur de cabinet à la
présidence de la République, Ahmed Ouyahia. .
Mourad Hammami
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